Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois
Commune de Belrupt-en-Verdunois

Evolution du nombre d'enseignants à l'école primaire d'Haudainville

28/02/2018
Evolution du nombre d'enseignants à l'école primaire d'Haudainville

Les services de l’Education Nationale en Meuse ont décidé de supprimer un poste d’enseignant à l’école primaire d’Haudainville où sont scolarisés les enfants de Belrupt. Cette suppression prendra effet à la prochaine rentrée scolaire, en septembre 2018.

Cette décision de l’Etat est motivée par la baisse des effectifs (du fait d’une classe d’âge à faible effectif, celui-ci passe de 131 à 115 en septembre prochain). Les élus communaux et intercommunaux concernés (Haudainville, Belrupt, communauté de communes et communauté d’agglomération) ont coordonné leurs démarches et ont rencontré l’Inspectrice de l’Education Nationale – en lien avec les représentants des parents d’élèves des deux villages, qui ont également rencontré l’inspectrice.  Selon les hypothèses d’organisation de l’Education Nationale, cette suppression n’aura pas d’effet négatif sur la qualité pédagogique.

Les effectifs dans les classes resteront corrects. En effet, la classe des cours moyens accueillerait 24 élèves – le CE2 en aurait 23 – le CE1 22 et le regroupement des CP avec les « grandes sections » (comme cela se fait beaucoup maintenant) en accueillerait 21.

 Quant à l’école maternelle de Belrupt, elle n’est pas impactée, même si l’effectif reste plutôt bas (16 enfants actuellement et autant à la prochaine rentrée de septembre).

 Cette décision est une bonne occasion pour réfléchir à la scolarisation de nos enfants et à l’importance que revêt la décision de scolariser nos enfants localement.

Il y a ainsi 18 enfants du village qui sont scolarisés à Verdun en maternelle et en élémentaire. Soit quasiment l’équivalent d’une classe. S’ils étaient scolarisés sur place, nous n’aurions pas de problème.  On entend souvent des critiques sur la baisse des services en milieu rural ou « rurbain » : concrètement, nous partageons la responsabilité de défendre nos écoles et nous avons en ce domaine une capacité à le faire et donc à préserver les services publics dont nous avons besoin.